The Liszt project, from Integral to BIP…
BEST SOUND RECORDING in REPERTOIRE (November, 2002)
“A sound taken as if in levitation in a miraculous acoustic space, intimate and caressing, able to render the tiniest nuance of a touch of infinite variation. A subtle symphony of felts, air and metal.”
Le “choix de l’audiophile” dans REPERTOIRE (novembre 2002) : “Une prise de son comme en lévitation, dans une acoustique miraculeuse qui capte, tout en proximité et en douceur, les moindres nuances d’un toucher aux irisations infinies…Une subtile symphonie de feutres, d’air et de métal.”
PIANO (September/October 2002)
“…this playing, intimate, elegant and refined, has an immense sweetness of touch, alongside which each lyric passage gains an extraordinary importance – a weight it would not have had in other circumstances. The argument turns completely around color and suggestion: a transfiguration suggested, rather than one built on force and virtuosity… To do that you need a particular kind of wisdom, especially in the music of Liszt. An astonishing and profoundly musical performance, which honors the Hungarian composer like few others.”
“…ce jeu n’est que confidence, élégance et raffinement. Immense délicatesse, à côté de laquelle chaque envolée dynamique prend un poids extraordinaire – un poids qu’elle n’aurait pas eu dans d’autres circonstances…Le propos est tout entier tourné vers la couleur et la suggestion : suggestion d’une transfiguration qui n’est pas dite, plutôt que de l’être dans la force et la virtuosité… Il faut pour y parvenir être doué d’une sagesse particulière, surtout dans la musique de Liszt. Une prestation étonnante et profondément musicale, qui honore le compositeur hongrois comme peu.”
LE MONDE DE LA MUSIQUE (October 2002)
“A sensitive touch and a subtle feel for color…his Consolations and his Dreams of Love have that special distinction of keeping the listener on the alert. One is delighted to discover three rare Gounod/Liszt transcriptions, including Les Adieux, evoking the famous scene of farewell from his opera Romeo and Juliet…”
“possède un toucher sensible et un sens subtil de la couleur … ses Consolations et ses Rêves d’amour ont cette distinction particulière qui maintient l’auditeur en éveil. On est heureux d’entendre trois pièces rares d’après Gounod, dont les fameux “Adieux” de son opéra Roméo et Juliette…”
REPERTOIRE (October 2002)
“The most seductive thing about this playing – in contexts often sensual or heart-rending, at times even erotic or dangerous – is its clarity and musicality, its way of keeping the pastry light and the lines singing.”
“On sera d’emblée séduit dans ce programme – qui développe des climats souvent sensuels ou doloristes, et même parfois érotiques et délétères- par l’aspect soigné et toujours musical de son jeu, par sa manière d’alléger la pâte sonore et de souligner les lignes chantantes…”
DERNIERES NOUVELLES d’ALSACE
“Jeffrey Grice reveals, in a decidedly romantic option, all the sound richness of the instrument with as much sincerity, gentleness and tenderness as passion and vehemence. A joy to listen to.”
“(Jeffrey Grice) montre, dans une option résolument romantique, toute la richesse sonore de l’instrument, qu’il fait sonner et résonner avec coeur, douceur et tendresse aussi bien qu’avec passion et véhémence… Un disque de plaisir.”
ZURBAN (January 2003)
“The piano works of Liszt abound with lesser known treasures, and one of the merits of this recording by Jeffrey Grice is to propose some rare Gounod paraphrases. But in more familiar works (6 Consolations, Ballade no 2, etc) the New Zealand pianist shows himself to be just as fine a musician. Passion, naturalness and finesse of touch: a superb recording!”
“Le piano lisztien regorge de richesses méconnues, et c’est l’un des mérites de l’enregistrement de Jeffrey Grice que de proposer de rares paraphrases d’après Gounod. Mais, dans les ouvrages plus célèbres (6 Consolations, Ballade n°2, etc.), le pianiste néo-zélandais se révèle tout aussi fin musicien. De la flamme, du naturel et du tact : un disque superbe!”